La presse safiote sous la loupe
Peut- on vraiment dire que nous sommes en face d’une presse local eu bien faite ?
La presse Safiote sous la loupe
L’ idée d’avoir un journal local ;c’ était une idée qui a traqué assez longtemps ; les safiots ; mais ce n’est que en 1965 que le rêve a pu avoir le jour . Le premier journal local était « ASSAFI » apparu le 15 décembre 1965 et qui avait comme rédacteur en chef Mr ABDALAH ENASSIRI ;il arrivait à traiter à divers sujet qui préoccuper la population ;pour un prix de 0.4DH .Apres ça les journaux se sont multipliés et les safiots se sont devenus de plus en plus intéresse par leur publication local.
On trouve actuellement le journal le plus tenace « OUYOUNE ASSAFI» c’est un bimensuel indépendant ;apparu il y a 10ans ;mais a cause de diverses crises financières et quelques conflits entre ses fondateurs ; il vient d’être prit encharges il y a 2 an maintenant par ses nouveaux dirigeants.
Dossier de presse : 3/95.
Depot legal :25/225.
Impression :Anteprima.
Prix de vente :3DH.
Numéro :36
Directeur de publication et de rédaction .
Said YAHYAWEN
Directeur en chef -Directeur commercial
Nourdine MIFRANI Ahmed ELWARDI
Rédaction.
Hassan ANABARI.
Photographe
Hicham ATARI; Rachid ELOYNI.
Conseiller juridique
Abd Ellatif LAMTAREH
Leur rédacteur en chef Nourdine MIFRANI a bien eux la gentillesse de rependre à quelles une de nos questions :
Q : Quelle est la raison qui poussera les Safiots a lire un journal local au sein de cette diversité de medias ?
Mr MIFRANI : Comme on dit « Nous sommes ce que nous lisons »alors les Safiots trouvent des sujets qui leur touche de près bien sur tous prés de chez eux ; en plus la plus part de nos idées d’article viennent des lecteurs eux mémés.
Q : Vous nous avez dit que vous faites un tirage entre 2000 et 5000exmplaires et vous réaliser des vente entre 2000et3000 exemplaires ; êtes vous fières de ce chiffres ?
R : Vous savez qu’on reçoit entre 400 et500 exemplaires des journaux les plus lu au Maroc ; alors si on se compare a eux c’est un chiffre très prometteur pour nous ; bien sur on faire espère mieux.
Q : On dit que l’ensemble de l’équipe des rédacteurs ne sont pas des journalistes de formation ?
R : Oui c’est vrais mais ils ont un niveau d’étude d’une licence au moins ;en plus dans le métier du journalismes c’ est l’expérience qui compte ;comme il est mon cas je suis dans le journalisme depuis 1996 et j’ai travaille dans d’autre journaux.
Q : Vous surviviez comment ?
R : Grâce à quelques publicités et quelques subventions le reste on le paie de nos poches.
Q : Dans vos publications êtes vous toujours à jour ?
R : Malheureusement ; c’est impossible ; toujours question de financement.
Merci Mr MIFRANI
On trouve aussi « LIWAA ASSAFI » c’est un mensuel indépendant qui a vu le jour en 2004.
Dossier de presse : 98/03 Depot legal :2004/0141 ISSN-8721 Numéro :11 Prix de vente :3DH . Directeur délégué et redacteur en chef Mr Hassan ATALAGHE Rédaction SalahEdine MANDOUHI Abd Errahim AKRILI Mohamed ENONI Selon leur rédacteur en chef ils arrivent à réaliser en tirage entre 2000et 3000 exemplaire ; leur publication n’est pas toujours mensuel ;problème de financement ; et des fois manque d’actualité qui fera vendre le numéro l’ensemble de l’équipe ne sont pas des journalistes de formation(licence ;exercent le métier de professeurs). Il y a aussi le nouveau bébé de la presse local « ASSIF »c’est un hebdomadaire indépendant qui est a son 3 éme numéro. On n’oublie pas bien sur ceux quand trouve plus sur le marche actuellement comme « SAWTE ASSFI ; ELHAKIKA ESSIASSIA ; ASSRARE ASSAFI ; SADAA ASSAFI ; MOUNIR ASSAF ».Qui ont connu de grave problèmes de financement ; et aussi une concurrence de la part d autre journaux. Dans le centre régional de la presse on nous a informe que la nouvelle loi stipule : Que chaque journal qui n’arrive pas à respecter les dattes de publication doit fermé ces portes. Mais d’après Mr MIFRANI ; il va y avoir un compromis et ils auront une deuxième chance. Mais malheureusement on trouve pas de publication en langue française,ce n’est pas parce que nos rédacteurs ou nos lecteurs ne sont pas des bon francisant ,mais c’est sûrement une question de temps. Pour ce qui est du contexte ; on les invite à faire mieux car il y a beaucoup de dossier que la presse peut déterrer avec succès. Fatima Ezzahra RAHALI